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Titre
Transcription
À suivre
 

Un siège dans le Royaume supérieur s’obtient par une diligence honnête, la Grâce du Maître et la Miséricorde de Dieu, partie 16/19

2024-09-16
Lecture Language:English
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Ils disent que le Bouddha a même mangé des pieds de porc-personne. Il ne l’a jamais fait. Non. Il a même dit que quiconque mange de la viande d’animal-personne n’est pas Son disciple. Vous le savez tous. Mais de nos jours, les gens ne se soucient plus de cela. Au début, Bouddha l’a autorisé parce que certaines personnes venaient d’arriver et ne savaient rien. Le Bouddha a donc dit : « Si vous devez manger de la viande d’animaux-personnes, alors mangez ce type de viande moins karmique, de la viande non karmique, comme celle des animaux-personnes déjà morts dans la rue, ou morts de mort naturelle. Ou bien quelqu’un les a tués, mais pas pour vous personnellement et vous n’entendez pas le cri des animaux-personnes quand ils sont tués. » Mais ce n’était qu’au début. [...]

Parce qu’à cette époque, le Bouddha vivait simplement sous l’arbre, dans l’arbre – certains arbres ont un creux. Un grand arbre comme l’arbre de la bodhi, le corps de cet arbre pouvait être comme une maison ou même plus grand, et il y avait un creux dans cet arbre près de la racine. Lorsqu’ils se sont séparés au cours de leur processus de croissance, le Bouddha s’asseyait dans l’un de ces creux, comme de nombreux moines auparavant. Aujourd’hui, certains le font encore ou s’assoient dans une grotte ou autre. Les gens venaient donc voir le Bouddha. Ils ne comprenaient pas qu’ils devaient être végans ou autre, alors ils devaient sortir, aller au marché pour acheter à manger, manger et revenir pour voir le Bouddha plus tard. Bouddha n’avait pas de maison, pas de cuisine, rien. Il sortait mendier. Ainsi, ces nouveaux venus, même les nouveaux moines, allaient et venaient, allaient et venaient et mangeaient.

Si le Bouddha savait qu’ils mangeaient de la viande d’animal-personne – ils devaient le faire, parce qu’ils ne savaient pas ce qu’était être végétarien, ce qu’était être végan, ils ne savaient pas où acheter ; s’ils devaient manger de la viande d’animal-personne, le Bouddha devait être indulgent et leur conseiller : « Si vous êtes obligés, mangez telle ou telle sorte de viande. Sinon, le karma est trop lourd pour vous. » Alors c’est ce qu’ils ont fait. Mais plus tard, le Bouddha a dit : « Vous avez déjà grandi. Vous connaissez déjà la Vérité, le Dharma. Alors, ne mangez plus de viande. Celui qui mange de la viande n’est pas mon disciple ; c’est Alors maintenant, vous savez.

Et plus tard, le Bouddha a eu un ashram, une chambre pour Lui. Ils l’appelaient « chambre parfumée ». Elle était destinée au Bouddha et il y avait beaucoup d’autres chambres pour les moines. Mais parfois, cela ne suffisait pas car d’autres moines revenaient, les moines âgés ou en visite, venant d’autres écoles, et ils n’avaient pas assez de place. Alors même Rāhula, le fils du Bouddha, a alors dû aller dormir dans la zone des toilettes. C’est ainsi que le Bouddha L’a formé pour qu’Il soit humble, pour accepter toutes les situations. Même le fils du Bouddha,. Un prince aussi – Il était prince, bien sûr... et Il a dû aller dormir dans les toilettes.

Il y a un sutra où le Révérend Grand Ānanda rapporte tout cela. Nous devons Le remercier, bien sûr, pour de nombreux sutras. Nous devons également remercier les nombreux autres révérends qui, sous l’aile protectrice du Bouddha, ont consigné pour nous toutes ces histoires vraies et ces véritables enseignements du Dharma du Bouddha. De nombreux sutras ont disparu ou ont été détruits. Bien sûr, après le Nirvana du Bouddha, de nombreux révérends moines se sont réunis et ont rassemblé toutes les histoires et tous les enseignements du Bouddha et les ont classés par catégories. Maintes personnes voulaient apprendre, et sont donc venues faire des copies. Mais après l’arrivée des musulmans et d’autres envahisseurs, ils ont bien sûr tué les moines, détruit les temples et brûlé un très, très grand nombre de sutras.

Mais il en reste encore quelques-uns, car certains les ont emportés dans d’autres pays ou d’autres régions qui n’étaient pas envahies. C’est pourquoi nous disposons encore aujourd’hui de nombreux sutras pour étudier et connaître l’enseignement du Bouddha, pour le suivre et essayer d’être de bons et nobles disciples du Bouddha. Ce n’est pas l’ensemble, tout l’enseignement du Bouddha qui arrivait dans un pays, à l’époque, parce que certains moines devaient s’enfuir et emporter tout ce qu’ils pouvaient avec eux pour le cacher, afin de protéger leur propre vie et les sutras.

Certains pays avaient donc beaucoup plus de sutras que d’autres, et certains avaient des sutras différents de ceux d’autres pays. Certains pratiquent donc ce qu’ils appellent le Mahayana. Ils suivent les enseignements des principaux sutras qui ont été laissés derrière eux, comme en Inde, où Xuanzang – un grand Maître – s’est rendu en Inde et en a rapporté quelques-uns à la maison ou les a traduits et les a rapportés en Chine. Puis, à partir de là, ça s’est répandu dans de nombreux autres pays.

Mais certains sont également allés dans d’autres pays différents, parce que les moines sont allés là où ils le pouvaient, ou dans le pays qui était le leur, avant de venir récupérer les sutras auprès d’autres moines en Inde, par exemple. Par conséquent, ils ont obtenu ce qu’ils ont obtenu, et ils ont pratiqué en conséquence. Ainsi, certaines écoles de moines ont suivi les premiers enseignements du Bouddha. C’est pourquoi ils l’appellent l’enseignement bouddhiste « originel », où le Bouddha permettait encore à certains d’entre eux de manger de la viande d’animal-personne et trois sortes de... ils l’appellent « viande purifiée ». Comme je vous l’ai déjà dit : les animaux-personnes sont morts naturellement, personne ne les a tués. Ou si vous devez manger de la viande d’animal-personne – si ces animaux-personnes ne sont pas tués pour vous, en particulier personnellement, alors vous pouvez en manger. Mais, bien sûr, ils récitaient beaucoup de mantras, beaucoup de purifications que le Bouddha leur a enseignés, et ils savaient déjà dans leur cœur que ce n’était pas censé être ainsi, mais ils l’ont fait temporairement pendant qu’ils étaient encore en train d’apprendre.

Autrefois, il n’était probablement pas facile d’aller acheter de la nourriture végane pour ceux qui venaient d’autres pays, d’autres provinces ou d’autres comtés et qui n’étaient pas habitués à la vie et au mode de vie dans les villages ou les villes où se trouvait le Bouddha. Ils ont donc simplement dit de manger ce qu’ils pouvaient, de manger ce que les gens leur donnaient temporairement jusqu’à ce qu’ils s’installent et apprennent avec le Bouddha, ou qu’ils restent là, et alors ils sauraient tout. C’était donc la première autorisation du Bouddha à l’origine. Les personnes originaires d’un pays voisin de l’Inde à l’époque, comme la Birmanie, le Cambodge ou la Thaïlande, ont peut-être reçu ces premières écritures et ces premiers sutras de la part de moines âgés de l’Inde. Ils les ont ramenés chez eux, et n’ont pas eu le temps de prendre d’autres sutras, ou ceux-ci n’étaient pas disponibles là où ils se trouvaient. Ils prenaient donc tout ce qu’ils pouvaient. Autrefois, nous n’avions pas d’avions, nous n’avions pas de grands yachts, pas de voitures ni de camions pour transporter beaucoup de choses. Alors imaginez, juste quelques moines... peut-être qu’ils pouvaient louer une charrette à vache ou autre. Mais ce n’était pas le cas partout. Ils devaient donc envisager de transporter les sutras par eux-mêmes sur une route, dans une région où ils n’avaient ni voiture, ni bus, ni rien.

Par exemple, dans l’Himalaya où je suis allée, dans de nombreuses régions, j’ai marché tout le temps. Une seule fois, j’ai pris le bus, parce que nous étions déjà près d’une ville et que le bus était là. Quelqu’un avait loué le bus et m’a laissé partir avec eux. C’est tout ; c’est la seule fois dans l’Himalaya. Bien sûr, plus tard, quand je suis descendue dans une ville pour rentrer chez moi, il y avait des charrettes à cheval etc.

Mais dans l’Himalaya, là où je marchais – rien. Je marchais tous les jours. Mes chaussures étaient mouillées, mes pieds enflés. Je n’avais que deux paires de vêtements de type punjabi – un pantalon, bien sûr, et une longue tunique qui couvre le corps jusqu’aux genoux ou sous les genoux, ce qui est plus digne à porter pour les gens. Les hommes et les femmes portaient ces vêtements autrefois. Mais aucune voiture. Je portais toujours des vêtements et des chaussures mouillés et j’avais les pieds enflés, mais j’étais amoureuse de Dieu. Je ne craignais rien. Je ne me souciais de rien. Je ne pensais pas grand-chose de quoi que ce soit. Je n’ai jamais pensé, ni comparé, ni voulu mieux – rien.

Je n’avais pas beaucoup d’argent non plus. Il fallait que ça dure, alors je ne pouvais même pas me permettre d’avoir quelqu’un pour porter les bagages. Je n’ai donc emporté que mes habits. Un pull-over – je me suis dit que j’en avais peut-être besoin, parce que c’est tout ce que j’avais – et une autre paire de vêtements punjabi de type pyjama à l’intérieur du sac de couchage pour me protéger de la pluie. Et un que je portais, c’est tout. Je ne pouvais pas me permettre plus. Et une assiette pour cuire les chapatis et préparer le thé en même temps. Et une petite tasse en aluminium et une cuillère que j’ai aussi dû vendre par la suite. Tout est trop lourd quand on monte dans les hauteurs de l’Himalaya. Et je n’ai jamais eu besoin de porter le pull-over parce que je marchais sans arrêt et que j’avais toujours chaud, même quand j’étais mouillée. D’une certaine manière, Dieu m’a protégée – là où c’était censé être sec, c’était sec. Seuls les pieds étaient mouillés parce qu’ils marchaient toujours dans une zone humide. Quand la neige fond, c’est sale et boueux aussi, et toujours mouillé. Mais je ne pouvais rien y faire. Je n’avais qu’une seule paire de ces chaussures de sport. Et je n’avais plus de chaussettes après.

Je n’avais même pas deux paires de chaussettes. Je devais les laver et les porter, mais elles ne séchaient jamais, parce que je n’avais jamais assez d’argent pour louer une place près du feu, que les gens mettaient à disposition dans la zone de pèlerinage. Il faut se rendre rapidement dans une telle maison de refuge, sinon on reste dans le noir, dans la rue, dans la jungle ou dans la montagne. Dans l’Himalaya, il n’y a personne à qui demander, pas de voisins, rien, juste de simples maisons en terre construites ici et là, loin les unes des autres, pour les pèlerins au cas où ils en auraient besoin. Et tous les pèlerins avaient de l’argent d’une manière ou d’une autre. Ils payaient, et je me tenais derrière eux et mettais mes chaussettes en l’air – derrière le groupe de personnes qui se tenaient debout – pas directement face au feu.

Mais je ne me suis jamais sentie mal, je n’ai jamais eu froid ou autre. Et si elles étaient sèches, je les portais ; si elles étaient mouillées, je les portais, parce que le lendemain matin, il faudrait quand même partir. Vous ne pouvez pas rester seule dans cette maison. Vous n’avez pas le droit non plus. Vous partez et un autre groupe viendra. Je ne savais pas grand-chose. Si les gens partaient, je partais. Parfois, je devais marcher seule parce qu’ils marchaient différemment, et ils marchaient si vite. J’étais seule avec un bâton et mon sac de couchage devenait de plus en plus lourd à cause de la pluie qui trempait l’intérieur. De plus, la route était difficile et je montais. Mais j’étais heureuse. Je ne réfléchissais pas trop à quoi que ce soit.

Photo Caption: Danser pour le soleil avec gratitude

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